Votation citoyenne : Oui au droit de vote des étrangers !

Du 19 au 22 mai 2011, la Mairie du 3e et le collectif de la Votation citoyenne invitent la population à donner son avis sur le droit de vote et d'éligibilité des résidents étrangers aux élections locales.

De nombreuses personnalités politiques de tous les partis (extrême droite exclue) militent, depuis plus de trente ans, en faveur d’un renforcement de ce droit démocratique. Malheureusement, la France, persiste et signe, conservant, au niveau européen, l'une des législations les plus restrictives en la matière, alors même que la majorité des pays de l'Union Européenne (17 pays) a d'ores et déjà accordé partiellement ou totalement le droit de vote à ses résidents. Pour preuve, l’an dernier, l'Assemblée nationale a rejeté, par 313 députés de la majorité présidentielle, une proposition de loi constitutionnelle sur le « droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales des étrangers non ressortissants de l'Union européenne résidant en France ». Les parlementaires n’ont pas tenu compte de l'évolution de l’opinion des citoyens français sur ce sujet, pourtant majoritairement bienveillants à son égard, selon les sondages.

Depuis 1992, le droit de vote est en effet attribué aux résidents étrangers issus des Etats membres de l’Union Européenne, constituant une réelle avancée démocratique mais créant une discrimination à l’égard des étrangers non communautaires. Dès lors, pourquoi maintenir ces résidents à l’écart de ce droit ?

Car à Paris et en particulier dans le 3e, les étrangers comme les nationaux participent à la vie économique, sociale, culturelle et associative et contribuent souvent à la vie citoyenne en étant responsables d'associations, délégués syndicaux, représentants de parents d'élèves ou électeurs pour la désignation des conseils de prud'hommes. Ils endossent ainsi une citoyenneté dans la capitale sans pouvoir s’associer aux choix politiques locaux.

La municipalité parisienne s'est, elle, déjà déclarée favorable au droit de vote de ces derniers. Mais pour qu’exécutif et législatif se mettent enfin d’accord sur cette question, il est nécessaire de multiplier les actions pour défendre, promouvoir et montrer l'attachement de chacun à la diversité culturelle et aux principes républicains.

Je vous donne donc rendez-vous, jeudi 19 mai, de 17h30 à 19h30, à la Mairie du 3e, pour venir voter et exprimer votre opinion sur le droit de vote et d'éligibilité des résidents étrangers extra communautaires aux élections locales, lors d'une votation citoyenne. Et si vous ne pouvez pas venir ce jour-là, voici les prochaines occasions.

A l’heure où l’ensemble de la classe politique est déjà engagée dans la campagne présidentielle de 2012, nous devons nous mobiliser pour que ce thème s’impose dans les programmes en cours d’élaboration. Reconnaître ce droit, c’est élargir la démocratie vers un suffrage véritablement universel attaché à la résidence et pas seulement à la nationalité et surtout, renforcer auprès de tous, la conscience citoyenne et les valeurs d’égalité, de fraternité et de liberté.

Ensemble contre l'homophobie

Célébrée à travers de 50 pays dans le monde, la Journée Internationale de Lutte contre l'Homophobie fait référence au 17 mai 1990, date où l'homosexualité fut définitivement rayée par l'OMS de la liste des maladies mentales.

Comme chaque année la Mairie du 3e organise à l'initiative de Flora Bolter, élue chargée de la lutte contre les discriminations, en partenariat avec les associations militantes, des journées de sensibilisation et d'échanges pour lutter contre les discriminations et violences subies par les personnes Lesbiennes Gaies Bisexuelles Transexuelles.

Dimanche 15 mai de 11h30 à 13h30
Concert par le Choeur gay Podium Paris
Les 70 choristes de Podium Paris revisitent un répertoire de variétés des grands tubes des années 60 à nos jours.
En complément, quelques associations LGBT reconnues pour leur investissement en faveur de l'égalité des droits, viendront à la rencontre des habitants et présenteront leurs actions, dont SOS Homophobie, l'Ardhis, Long Yang Club, Les Petits bonheurs, Amnesty international...
Parvis de la Mairie du 3e

Lundi 16 mai, de 19h à 21h30
Débat « Religieux et non-homophobe, ça existe ? »
En partenariat avec le Centre LGBT d'Ile de France et en présence de représentants du Comite IDAHO, et des associations: Homosexuels musulmans de France, Beit Haverim et David et Jonathan
Même si beaucoup invoquent des arguments religieux pour justifier l'inégalité des droits, la discrimination voire la violence à l'égard des personnes LGBT, il n'est pas pour autant évident que toute religion doive nécessairement être homophobe.

Qu'en est-il réellement des positions des grandes religions, au sein de leurs diverses dénominations ? Pour faire avancer le débat, la parole est donnée aux associations confessionnelles LGBT, ainsi qu'à des religieux de toutes confessions.
Mairie du 3e

Mardi 17 mai de 16h à 20h
Création d'un « Mur contre l'homophobie »
Les associations Ardhis et Long Yang Club proposent à toutes et à tous de signifier leur refus de l'homophobie, en venant se faire photographier, seul/e ou en groupe, avec un message rédigé sur une petite pancarte : message de paix, d'amour, de tolérance, de liberté, message grave ou humoristique, en français ou dans la langue de votre choix. Ces images seront immédiatement imprimées et accrochées pour constituer un mur de photos.
Parvis de la Mairie du 3

Conférence citoyenne # Groupe intergénérationnel du 3e : les séniors bientôt sondés sur leur qualité de vie !

Jeudi 12 mai 2011, en début de soirée, j’assistais à une réunion du groupe intergénérationnel des futurs du 3e, dans le bureau de Christiane Gilon, Déléguée à la prospective pour un 3e centre de la création et de l’innovation. Il s’agissait, ici, d’examiner le questionnaire ouvert se rapportant à la qualité de vie des séniors dans notre arrondissement. Ce questionnaire a été décidé suite à la conférence citoyenne menée dans le 3e pour définir des chantiers innovants. Ainsi, avec les réponses apportées, nous aurons un meilleur état des lieux des conditions de vie de nos seniors dans le 3e.

En effet, le 3e, caractérisé par un parc immobilier ancien constamment soumis à des mesures de protection par la richesse de son architecture, se préoccupe des besoins de ses habitants retraités. La perte d’autonomie, fréquente à cet âge de la vie, et la nécessité de la préparer au mieux ont donc incité un groupe de citoyens issus de notre conférence citoyenne à programmer une enquête déterminant les demandes de cette fraction de la population en s’efforçant d’inventer des solutions locales aux difficultés identifiées.

Cette enquête, dont l’ambition principale réside dans la connaissance des souhaits des retraités du 3e (et de celles et ceux qui s’approchent de l’âge fatidique !) en matière de logement principal, d’accessibilité, de santé et de services publics, à partir d’un échantillon représentatif effectué par tirage au sort au sein des listes électorales les plus récentes, sera réalisée parmi des habitants demeurant dans l’arrondissement, âgés de plus de 65 ans et n’exerçant plus d’activité professionnelle.

Une prochaine réunion se tiendra d’ici un mois pour fixer la date de lancement des premiers entretiens en juillet ou septembre et désigner le groupe d’enquêteurs émanant, à priori, des Conseils de quartier. S’en suivra un rapport final rédigé dans un délai de six mois suivant l’incorporation de la dernière entrevue et restitué à l’atelier intergénérationnel du 3e lors d’une séance spéciale pour susciter le débat et insuffler des propositions. Les élus et les habitants du 3e auront alors en leur possession un document de synthèse, indispensable pour affiner la compréhension des problématiques sociales rencontrées par nos séniors et améliorer leurs modes de vie.

Conseil d’arrondissement : de nouveaux tarifs pour les conservatoires municipaux pour un meilleur accès à tous.

Le 9 mai au soir, se tenait le troisième Conseil d’arrondissement de l’année à la Mairie du 3e.

Une délibération, votée à l’unanimité, a particulièrement retenu l’attention des élus. Présentée par Patrick Badard, Délégué à la Culture, l’Animation locale et la Mémoire, elle concerne la fixation des nouveaux tarifs dans les Conservatoires municipaux d’arrondissement de la Ville de Paris, Bertrand Delanoë faisant de l’accès des enfants à la musique, la danse et l’art dramatique, l’une de ses priorités. En effet, d’ici la fin de la mandature, trois nouveaux Conservatoires seront crées dans le 17e, 13e et 12e, celui du Centre de Paris, installé au Forum des Halles, étant pour sa part, totalement rénové dans le cadre de la restructuration de ce quartier.

Depuis plusieurs années, les tarifs des Conservatoires étaient restés très stables, malgré de légères augmentations en 2006 et 2008. Dans la même logique que la remise à niveau et la réévaluation des tarifs de cantine, il s’agit ici, de rééquilibrer les coûts des Conservatoires en fonction du quotient familial. Dès lors, les nouveaux tarifs proposés entrainent une baisse significatives des coûts d’entrée pour les familles les plus modestes, une quasi stabilité pour les familles aux revenus médians, une augmentation pour les foyers dont le quotient familial est supérieur à six et une réduction da la participation demandé aux familles qui n’habitent pas Paris, ce dernier passant de 100% à 25% (pour permettre de donner corps à Paris Métropôle).

Ainsi, cette réforme vise à associer davantage les familles aisées à l’effort financier global que la municipalité met aujourd’hui en œuvre pour faciliter l’accès des plus jeunes aux Conservatoires de la ville.

En toute fin de séance,lorsque que nous donnons la parole au public, Alain Cédelle, membre du Conseil de quartier « Arts et Métiers » est intervenu, au nom du responsable de la commission « Circulation », sur un autre sujet brûlant : le projet de mise en double sens des Grands Boulevards. Certains habitants souhaiteraient, en effet, que deux files de circulation, l’une réservée aux automobiles (la seule prévue jusqu’à présent), l’autre aux transports en commun, soient crées dans le sens Ouest-Est (Richelieu-Drouot/République), pour éviter les phénomènes d’embouteillages, la file de stationnement n’étant pas jugée indispensable.

Cette proposition, « loin d’être la demande la plus entendue » dixit Pierre Aidenbaum, Maire du 3e, sera bien évidemment prise en considération et discutée lors des prochaines réunions de concertation, pourparlers dont la fin a été fixée début juillet.

Selon, Monique Saliou, en charge des questions de Propreté, d’Espaces verts, de Voirie, de Transports, de Circulation et de Stationnement dans le 3e, la suppression du stationnement et des possibilités de livraison, aurait pour conséquence une désertification commerciale et l’implantation de commerces indésirables et inadaptés à la redynamisation des Grands Boulevards. D’autant que la file unique, direction République, ne constituera qu’un itinéraire bis de délestage de la rue Réaumur mais n’attirera, en aucun cas, la totalité des automobilistes qui se dirigeront d’Ouest en Est sur cette partie de la capitale.

Le 3e, recèle, en outre, une particularité de taille sur le secteur, à savoir la présence de trottoirs en hauteur et d’une chaussée rétrécie de 14,50 mètres (contre 17 mètres dans les autres arrondissements), nous obligeant à concevoir une circulation qui soit la même d’un bout à l’autre du boulevard. Un nouveau plan de circulation autour de cet axe dans le 3e, devrait d’ailleurs voir le jour, la possibilité de mettre en sens inverse la rue Meslay ou la rue Notre Dame de Nazareth ayant, par exemple, été évoquée.

À ce stade du projet, tous les points de vue, même contradictoires ou conflictuels, doivent coexister, pour qu’au final, chacun puisse y trouver son compte.

Le 3e se mobilise pour la Journée nationale contre l’esclavage

Dans le cadre de la journée nationale contre l’esclavage le 10 mai, la Mairie du 3e propose une semaine exceptionnelle riche en événements.

C'est à la demande du président de la République, Jacques CHIRAC, que le 10 mai a été déclaré, en 2006, journée de commémoration nationale des mémoires de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions. Cette date, choisie sur proposition du Comité pour la Mémoire de l’esclavage, groupe d'experts présidé par la romancière guadeloupéenne Maryse CONDÉ, correspond à la date de l’adoption définitive par le Sénat de la Loi dite « Taubira » (10 mai 2001), qui confesse la traite et l’esclavage comme un crime contre l’humanité. La République française reconnaît désormais que « la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part, perpétrés à partir du XVe siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l’océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes constituent un crime contre l’humanité ».

La municipalité organise, pour l’occasion, un certain nombre de manifestations. En effet, depuis le 27 avril (jusqu’au 14 mai), se tient, à la Mairie du 3e, une exposition mettant en scène une quarantaine d’oeuvres du célèbre peintre DANYGIL, dont la vente des tableaux permettra de financer le projet « Terre de mémoires ».

Une comédie musicale sur la mémoire de l’esclavage au service de l’intégration dans les quartiers baptisée également « Terre de Mémoires », aura justement lieu lundi 9 mai à 20h30 au Théâtre DEJAZET. Présentée par l’association « Bulles d’Oxygène », elle rassemblera une trentaine de participants du 19e arrondissement de Paris et de banlieue, hommes, femmes, enfants, issus de toutes générations, de toutes cultures et de différentes religions.

Enfin, une soirée-hommage à Maryse CONDÉ se déroulera le vendredi 13 mai à 19h. Au programme : rencontres, échanges, lectures, film, animations artistiques et remise du Grand Prix du Roman Métis pour son dernier roman « En attendant la montée des eaux ».

La sixième journée nationale de lutte contre l’esclavage semble malheureusement être tombée dans l’oubli, par manque de communication et promotion médiatique, alors même qu’aujourd’hui, cette pratique perdure dans de nombreuses régions du monde. Pour que de tels drames ne se reproduisent plus à l’avenir, nous devons continuer à entretenir le souvenir des massacres, de la séparation des familles, des conditions de voyage effroyables, du travail forcé, des mutilations et des viols, engendré par cette période sombre de l’Histoire où l’homme était perçu, légalement, comme une simple marchandise. Sans oublier les formes d’esclavagisme moderne à l’œuvre aujourd’hui encore dans nos pays dits « développés ».

Je vous invite donc à venir participer à la semaine d’action engagée par le 3e sur l’histoire et le devoir de mémoire, le programme complet étant bien entendu disponible sur le site de la Mairie, rubrique Actualités.

Conseil local du handicap: lancement du guide d'accessibilité culturelle et touristique du 3e pour enfants en situation de handicap!

Communiqué de Presse

À l’initiative du Conseil Local du Handicap du 3e (CLH), ce guide est un outil de médiation culturelle pour les parents d’enfant en situation de handicap, composé d’un livret pour l’enfant, d’un livret pour l’accompagnateur et d’un support sonore.

Retrouvez le en cliquant ici!

Réalisée par les PEP 75 dans le cadre du dispositif « Musées en Liberté » (parcours culturels à télécharger gratuitement sur le site www.museesenliberte.fr) et financée par les conseils de quartier du 3e, cette initiative est pionnière puisqu’elle permet pour la 1ère fois à des enfants en situation de handicap, d’avoir un guide culturel adapté à la visite d’un arrondissement.

Pourquoi ce guide destiné aux enfants handicapés ?
Comme le souligne Claire Grisard, coordinatrice handicap des PEP 75, « les familles avec un enfant en situation de handicap hésitent souvent à se rendre dans les lieux culturels, c'est pourquoi nous souhaitons favoriser les sorties en famille en leur disant : allez-y, c’est possible ! »

Comment ça marche ?
Le personnage imaginaire de Margot, une jeune pensionnaire de l’orphelinat des Enfants Rouges, invite les familles à découvrir l’histoire et les richesses de l’arrondissement, son patrimoine et ses habitants. Le parcours et les activités pédagogiques sont adaptés aux enfants en situation de handicap moteur et mental. Les livrets permettent aux enfants d’apprendre en s’amusant et donnent aux adultes des clés de transmission.

La Mairie du 3e, les représentants du CLH du 3e , des Conseils de quartier et les PEP 75 recevront les jeunes de la CLIS de la Tour d’Auvergne (Classe d’Intégration Scolaire) et leurs parents qui l’ont testé pendant sa réalisation, le jeudi 5 mai à 10h, pour les remercier et leur présenter le guide d’accessibilité culturelle et touristique sur internet, lors d’un petit déjeuner convivial.

Le CLH du 3e est une instance unique à Paris, qui travaille à renforcer l'accueil et l'accessibilité des personnes en situation de handicap aux lieux publics, à la voirie, mais aussi aux transports et au logement dans le 3e.

Les PEP 75 (Pupilles de l'enseignement public de Paris) est un réseau associatif engagé pour permettre aux enfants de situation de handicap d'avoir accès à la vie culturelle.

Réouverture du Marché des Enfants Rouges : 10 ans déjà !

A l’occasion des 10 ans de la réouverture du Marché des Enfants Rouges, la Mairie du 3e, propose, du 4 au 7 mai 2011, un programme d’animations festives pour découvrir ou re-découvrir le plus ancien marché de Paris.

Créé en 1615 par deux commissaires de guerre de Louis XIII, le « Petit Marché » (son nom initial), qui approvisionnait à l’origine le nouveau Marais, quartier bâti au cours du XVIe siècle, doit son nom à l’orphelinat créé par Marguerite de Navarre en 1534, qui occupait les lieux et habillait les enfants recueillis de rouge en signe de charité. Certaines sources indiquent que le marché s’est installé en 1777 à la place de l’orphelinat, d’autres que ce dernier jouxtait le marché.
Légué à la Ville de Paris en 1912, il connut alors des modifications avec l'ajout d'une fontaine et d'une vacherie détruite deux ans plus tard. Inscrit à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1982, ce marché, devenu cinq siècles plus tard, un espace de convivialité avec restaurants, commerçants, producteurs de terroirs et traiteurs, demeure aujourd’hui le cœur vibrant et le poumon économique de la vie du quartier, « la place du village », comme le surnomment les riverains.
Fermé en 1994 pour six ans, il devait être remplacé par une crèche, une bibliothèque, des parkings et quelques étals de marché, sans aucune forme de concertation avec les habitants. Cet espace de 2 000 m² a finalement rouvert ses portes en 2000, retrouvant ainsi sa véritable vocation grâce à la volonté obstinée des habitants et au soutien de toute l’équipe municipale du 3e, qui s’était opposée à sa démolition en 1995.



Pour célébrer l’évènement, la Mairie d’arrondissement organisera, à partir de mercredi, une grande tombola avec à la clé paniers garnis, repas offerts chez les nombreux traiteurs du marché, dégustations et séjour en thalasso pour 2 personnes. Ce même jour, les enfants seront à l’honneur, des offres spéciales (barbes à papa, spécialités culinaires,..) combinées à des ateliers gratuits de maquillage et de sculpture de ballons, étant mis à leur disposition.
Jeudi, le marché étendra ses horaires d’ouverture jusqu’à 23 heures et proposera un apéritif nocturne animé à tarifs préférentiels. Enfin, samedi, se tiendra, dès 18h30, autour d’un cocktail et d’une animation musicale, la soirée de clôture et le tirage au sort de la tombola, en présence de Pierre Aidenbaum, Maire du 3e, et des commerçants du Marché des Enfants Rouges.



Je vous invite donc à venir découvrir cet endroit unique à Paris, situé au 39, Rue de Bretagne, où toutes les saveurs du monde sont réunies dans un même lieu. Le programme complet des quatre prochains jours est disponible sur le site de la Mairie .